POURQUOI LE KAYAK DE MER ?

 

 

Qu'est- ce qui peut inciter des ardéchois et des drômois à partir naviguer en mer ?

 

Plusieurs raisons !

Dans notre région, l'été est souvent synonyme de forte fréquentation des rives des cours d'eau et parallèlement étiages souvent sévères.

Par ailleurs, l'ACKE étant basée au bord du Rhône, la navigation sur le fleuve a toujours été un moyen de pratiquer à domicile, sans faire de grands trajets. Naturellement, le club a saisi toute l'importance de s'équiper de bateaux faciles d'utilisation et rapides sur l'eau "plate". Le kayak de mer s'est vite imposé.

 

D'abord des K2 furent achetés, grâce au deuxième plan départemental de développement du canoë kayak en Ardèche, dont le maître d'ouvrage était le Comité Départemental Canoë Kayak de l'Ardèche.

 

Ensuite, ce fut l'acquisition de 4 K1 mer, dans le cadre du plan de développement de la pratique en eau calme du Comité Régional Rhône Alpes Canoë Kayak.

 

Puis sont arrivés des adhérents qui pratiquaient déjà le kayak de mer.

 

Les étiages sévères de 2005, 2006, 2007 ont conduits les pratiquants de l'eau vive à naviguer souvent sur le Rhône, en découvrant l'intérêt de la navigation avec ces embarcations "maritimes". Puis, en août 2007, s'est produit le déclic d'une première sortie dans un lieu mythique : les calanques de Cassis. Le virus étant bien installé, les sorties se sont multipliées : Carry, les Iles du Frioul, Les calanques de Marseille !

 

Un autre argument de poids : Carry est à moins de deux heures de Viviers. Une sortie sans navette (départ et retour d'un même lieu) ne prend pas beaucoup plus de temps de déplacement qu'une descente des gorges de l'Ardèche !

 

Voilà comment un club "terrien" se rapproche de la mer !

 

 

 

CALANQUES DE CASSIS

 

Sujet en cours de rédaction

 

 

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CALANQUES DE CARRY

 

Celles-ci sont moins connues que celles de Cassis.

Certe, leurs falaises sont beaucoup moins impressionnantes, mais elles sont moins renommées, donc moins fréquentées.

 

Leur charme, c'est qu'elles accueillent toutes un abri maritime, quelques maisons, voir un café ou un restaurant. Le fantôme de Fernandel hante ces lieux...

 

Nous embarquons au petit port du Rouet, ou de la plage, et direction l'est vers Marseille.

 

Nous passons à la calanque des Eaux Salées, en frollant l'îlot de Grand Mona. Plus loin, c'est la calanque de Gignac et le port de la Redonne.

 

La calanque de Figuière propose à nouveau un abri. Quelque coups de pagaie de plus et nous arrivons à l'île d'Erevine, vers laquelle mouillent de nombreux bateaux pour faire une pose "pique nique".

 

Poussant toujours plus loin, c'est la calanque de Niolon, la méque de la plongée sous marine !

 

Pour les plus courageux, il est encore possible d'aller vers la calanque du Cap Ragnon, qui peut accueillir une dizaine de kayak au plus.

 

C'est une balade qui se fait sur la journée (aller / retour), si la météeo est favorable !

 

 

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ILES DU FRIOUL

 

Départ de Viviers vers 7h00. Le mistral à 80 km/h, température 6°. A bord du véhicule s'est le silence. L'objectif est d'aller en découdre avec les vagues à Carry le Rouet. A priori ce site nous permettra de prendre des "gamelles" en sécurité !

 

Passé Aix, le mistral semble avoir tombé et la température, qui avait chuté jusqu'à 0° en route, semble remonter. Une décision s'impose : allons voir dans la rade de Marseille. La descente sur l'Estaque confirme nos impressions : pas de vent, pas de houle. Et si nous faisions les îles du Frioul. Direction le Prado.

 

9h00, la plage est déserte. Nous embarquons rapidement et partons vers les iles d'Endoume en longeant la plage.

 

Nous traversons vers le chateau d'If puis vers l'île de Ratonneau, en prenant soin de laisser la priorité à un car-ferry qui sort du port de Marseille. Même de loin nous nous sentons bien petits ! Nous voit-on de la passerelle ?

 

La traversée se fait sans plus de difficultés et, vers 10h30, nous commençons à contourner les îles par le nord. Très rapidement, la houle se lève et nous affrontons des vagues déferlantes d'un bon mètre, par le travers. Nous persevérons en naviguant très groupés pour pouvoir s'assister mutuellement en cas de chavirage.

 

Sans trop "musarder", nous arrivons dans la calanque de Port Morgeret, en profitant de faire un bord au surf. Là, nous faisons un portage vers la mise à l'eau du port du Frioul.

 

Un petit "en cas" et nous réembarquons. Nous rejoignons le Château d'If puis les Iles d'Endoume et c'est le retour vers le Prado au surf, dans une houle qui a fortement diminuée.

 

La journée se termine au soleil sur la terrasse du restaurant de la calanque de Samena devant des moules frites.

 

 

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CALANQUES DE MARSEILLE - 16 avril 2008

 

L'embarquement a lieu dans la calanque de Callelongue. Puis c'est en direction de l'ouest que l'on rejoint l'île Maire qui est contournée par le sud. Après le passage entre Tiboulen et Maîre retour vers l'est pour rejoindre le petit abri au sud du Cap Croisette où nous dégustons, au soleil d'avril, à l'abri du vent, un "petit"casse-croûte", agrémenté d'une boisson réputée localement.

 

Ensuite, direction l'ilot du Petit Jarron et l'ile Jarre, que nous contournons par le sud. Le vent et la houle forcissant nous décidons de ne pas aller jusqu'à Riou et rentrons à Callelongue, en passant sous le vent de Jaîre qui nous abrite du vent de sud ouest pendant quelque temps. Quittant l'abri de petit Jarron quelques uns d'entre nous découvrent la navigation par mer un peu formée (vagues d'un mètre, rapprochées mais pas déferlantes...) et d'autres en profitent pour s'exercer à l'art du surf !

 

Le retour ce fait sans souci. Tous sont satisfait de cette journée qui se termine par la descente, par la route, à Sormiou pour préparer une future sortie : traversée de Sormiou à Cassis... à suivre

 

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